Une journée de labeur

-C'est un souvenir lointain, je ne voudrais pas vous embêter avec cela.

En fait, ce n'était pas tout à fait vrai, la raison était plutôt qu'il était honteux de lui-même. Et puis, le souvenir de sa tribu le chassant de chez lui n'était pas aussi loin qu'il le prétendait. Il y pensait chaque jour, chaque fois qu'un essaim d'oiseau s'envolait à cause du bruit de ses pas, uni, se protégeant les uns les autres, partageant leurs trouvailles. Mais surtout, il y pensait le soir, quand ses songes n'avaient d'autre loisir que de le hanter, lui disant que lui aussi, s'il n'avait pas agi avec autant d'ignominie, aurait pu se retrouver dans un troupeau comme les oiseaux. Sachant que Kahlan le questionnerait à nouveau, il devait ajouter quelque chose.

-J'ai une nouvelle vie maintenant et je préfère ne pas parler de ma précédente, sauf votre respect.

Il évita son regard et prit une gorgée d'alcool. Il ne voulait pas créer de froid entre elle et lui, mais il voulait encore moins parler de son passé si peu honorable. Il garda le silence, sachant tout de même qu'il venait de commettre une bourde peut-être irrattrapable et qu'il aurait probablement pu faire confiance en une femme aussi généreuse. Elle lui avait révélé son passé sans hésiter et lui avait pourtant refusé de le faire. Il fixa une nouvelle fois, de ses yeux mélancoliques, l'horizon devenu rougeâtre.

Lorsqu'Ereb entendit les hurlements, il fut parcouru d'un frisson, amplifié par la réaction immédiate de Kahlan. Tandis qu'elle était partie dans la maison chercher il ne savait quoi, il se leva, prit son arc et sortit une flèche de son étui, puis balaya les alentours du regard. Les environs étaient maintenant un peu trop silencieux. Lorsque la jeune femme revint avec son épée, le centaure comprit que la situation devait être encore plus tendue qu'il le croyait. Pourtant, il prit une voix rassurante pour ne pas inquiéter davantage la jeune femme.

-Non... pas tout à fait. Habituellement je n'ai rien d'autre à défendre que ma propre peau et je cours aussi vite que ces bêtes, alors je ne me bats pas inutilement contre elles. Mais aujourd'hui c'est différent, vos animaux risquent leur vie. Je crois que les hurlements venaient de votre champ, voulez-vous que j'y jette un coup d'oeil?

Il n'avait pas véritablement envie d'y aller, mais il fallait bien apaiser la jeune femme.. et lui-même. En fait, même si ces hurlements semblaient ceux d'une meute de loup, ils étaient beaucoup trop puissants pour l'être et surtout... ils étaient trop près. Même s'il parlait à Kahlan, Ereb avait le regard fixé vers le champ et la corde de son arc était tendue.

Après ces exploit sur la place du marcher, le vieux fou avait dut fuir la ville pour un petit moment, mais bien sûr il resterait dans les alentours pour vendre un peu de bon temps au fermier des environs! Qu,elle meilleur achat pour un fermier que du beau temps ou de la pluie pour â terre? Arrivant sur une ferme, il fut témoin d’un étrange spectacle,, un hurlement de loups, un femme et un centaure qui ce tenait sur leur garde.

*enfin un peu d’amusement!*

il avança encore un peu sur le territoire de la ferme, balayant les champs de puissant vents du nord d’une froideur impressionnante pour la saison(2-4 Celsius). Il allait ce faire plaisir, peut-être même que s’il aidait les fermier à ce défendre contre les loups il aurait une belle récompense! Soudainement, il levas ces bras dans le cil et un éclair tonna et tomba du ciel pour trouver comme cible le sol proche du champs, sans l’atteindre. Il voulait faire des profit, pas devoir rembourser une ferme à des fermier!

Ils purent voir très aisément l’homme qui était maintenant au coin de la grange, très prés d’ou était tomber l’éclair, c’était un vielle homme au trait déformer par les ride et avec une grande barbe blanche, dans ces yeux brillait la foudre et la tempête. Il avait sur lui un simple bâton de bois noir enrouler sur lui même comme un serpent sur ça proie, il pointa son bâton vers les champs pour faire théâtral et usant de ces pouvoir, une mini tornade apparut et traversa le champs sans vraiment ce rendre très loin. Très calmement, il s’approcha de la fermière et de son ami centaure avec un grand sourire au lèvre.

-alors beau temps pour la saison n’es-ce pas?

Suivant le vent froid, une petite pluie fine mais rapidement envoyer par le vents s’habitation sur la petite ferme. Regorgeant les terre d’eau froide et frappant de plein fouet tout ce qui était sur son passage.

-alors, vous avez quelque problème de loups?

Ereb suivit Kahlan, toujours le bout de son arc suivant son regard.

- Je...

Alors qu'Ereb s'apprêtait à répondre à la jeune femme, il fut interrompu par la vision du vieil homme au coin de la grange. Il ne croyait pas qu'un homme puisse contrôler la nature, mais visiblement, celui-ci en était capable et ses paroles semblaient le confirmer. Toutefois, le sourire de l'inconnu n'inspirait pas confiance au centaure. Peut-être avait-il lui-même causé les hurlements des loups, car son apparition était beaucoup trop coïncidente. Et puis, ni Kahlan, ni Ereb n'avaient aperçu les créatures qui avaient provoqué ces cris. Il se tourna vers la fermière, se penchant un peu et parlant doucement pour que le nouveau venu ne puisse l'entendre.

-Je crois que cela répond à votre question. Le connaissez-vous?

Puis il observa le vieux magicien, comme cherchant dans son regard un détail le trahissant. Toutefois, il ne voulait pas s'en prendre à cet homme, car s'il contrôlait réellement la nature, quel autre désastre pouvait-il entraîner? Ereb ne lui adressa pas la parole, et encore moins lui répondit, car il savait bien que l'homme connaissait les réponses à ses propres questions. Il abaissa cependant son arc, pour ne pas que l'inconnu se sente menacé.

Kahlan était bouche bée. Mais pourquoi les dieux s'acharnait sur elle. N'avait-elle pas assez souffer? Elle regarda Ereb décourager.

- Oui, je croyais bien que c'était l'oeuvre de la magie. Mais où sont les loups?

Elle vit Ereb baisser son arc et jugea que c'était peut-être mieux comme ça. Elle baissa son épée aussi très lentement. Elle décida de parler à cette homme.

- Je crain que oui mais nous ne savons pas où ils sont. Est-ce que c'est vous qui faites tout ce vent? Et ces éclaires?

Elle ne savait pas comment elle devait agir avec lui. Elle n'avait pas confiance en lui. Elle se rapprocha un peut d'Ereb, elle se sentait un peut plus en sécurité avec lui. Elle le regarda inquiète.

Valarius s’éloigna un peu du champs par précaution, il y avait effectivement des loups selon eux, il détestait vraiment ces sale bête.

-bien sûr que oui ! qui croyez-vous qui fait réagire le ciel? Dieux?

il ce mit à rire d’un rire étrangement mauvais et froid. Il respirait la folie par tout les pore de ça peau. Il fit un grand sourire presque démoniaque puis continua.

-vous savez, je revenait de la ville quand j’ai entendu les cris, je me suis dit que je pouvait venir aider un peu les fermier du coin à ce débarrasser des loups!

Ça voix, ressemblait exactement à la voix grave et étrange qui s’était élever plus tôt faisant éclater un Orage des plus violent dans la grande ville. L regarda un peu le centaure e son visage changeât, un petit air de dégoût ce lisait sur son visage.

-au fait messire le centaure, comment être vous née, j’ai toujours entendu dire que les centaure était stérile hors votre père n’est sûrement pas un centaure dans ce cas là!

Ereb fut visiblement choqué par la question.

-Vous êtes bien mal informé, dans ce cas. Ou bien vous ne voyez pas la différence entre un mulet et un centaure.

Il jeta au vieux fou un regard noir qui se voulait dépourvu d'émotion. Cependant, son ton n'avait pas été trop arroguant, craignant les pouvoirs meurtriers de l'homme. Il n'osa pas jeter un coup d'oeil à Kahlan, sachant qu'elle devait, elle aussi, être curieuse de connaître la réponse à la question. Mais Ereb n'avait pas envie de parler de sa race et encore moins avec un vieil homme sans compassion. Et puis, son ancienne tribu semblait croire qu'il ne méritait pas le nom de centaure. Il était d'accord avec les membres de celle-ci. Il soutint le regard du magicien, évitant de regarder son hôtesse, car, il faut le dire, il était plutôt embarrassé par la question indiscrète de l'inconnu concernant les centaures. La colère montait en lui, mais il ne devait pas la laisser paraître, car le vieil homme en serait bien trop ravi.

Valarius parût des plus choquer par les propos de la jeune femme, ne faisant plus attention à cette horrible bestiole avec un corps de poney , il en était sûr il était des plus infertile! Mais bien vite, ces yeux devinrent noir comme si des nuage apparaissait dans ces yeux, de même vint la foudre dans son regard. Le ciel quand à lui commença à prendre les même teinte. Un immense orage ce préparait. La colère du tempestaire était puissante et venait facilement.

-j’était venus vous portez aide, mais l’ont dirai que vous ne connaissez point les bonne manière jeune femme! Alors ce seras donc à moi de vous les apprendre!

Il levas ces bras et un éclair tombas à ces pied.

-par la puissance du sombre seigneur des tempête, moi ton humble serviteur détendant du grand peuple des tempestaire demande ton aide!

Puis des dizaine d’éclair commencèrent à tomber et après cette pluies qui mit feu à plusieurs endroit très proche du champs, le vieux tempestaire disparut. Mais les nuage eux restèrent ce qui montrait qu’il N’était pas loin.

Kahlan venait de provoquer ce qu'Ereb voulait tout juste éviter, mais il ne lui en voulut pas, car il désirait faire de même depuis qu'il avait vu le regard de dédain que le vieil homme lui avait dirigé. Et puis, si l'homme contrôlait la nature, pourquoi ne la respectait-il pas? Toute créature a été créé également par la nature. Enfin, c'est ce que le centaure croyait. Ereb acquiesca à la proposition de la jeune femme et commença à se diriger vers la grange, mais il prenait son temps pour ne pas la laisser derrière.

-Souhaitons que la grange ne prenne pas feu avec ces orages!

Il entra dans l'obscurité de la grange. Ils pouvaient entendre les animaux qui paniquaient, sans savoir si c'étaient les orages qui causaient leur peur ou autre chose...

-Nous devrions les sortir de leur enclos, la situation est grave et s'il y a vraiment des loups, il faut leur donner la possibilité de sauver leur peau si nous ne pouvons pas le faire.

Kahlan se senti soudainement très mal d'avoir provoquer la colère du tempestaire. Mais elle fut très faché de ce qu'il avait dit à Ereb et elle se rendait maintenant compte qu'elle aurai mieux fait de garder son calme. Elle regarda Ereb avec les yeux plein d'eau.

- Je m'excuse Ereb. Je ne voulait pas provoquer sa colère mais la mienne a pris de dessus. Je nous ai peut-être condamner........

Elle se dirigea vers ces animaux.

- On ne peut pas les sortir comme ca avec les orages, ils paniqueront à coup sur!

Elle se mis à pleurer puis se repris. Elle ne devais pas montrer ces faiblesses. Elle est une femme forte et non une mauviette.

- Mais tu as raison si la grange prend feu nous somme cuits.

-Vous n'y êtes pour rien, Kahlan. Vos paroles étaient polies, mais lui était irritable. Il nous voulait à ses pieds, le suppliant, mais vous n'avez pas plié. Je suis bien davantage fier de vous que je ne vous en veux.

Ereb esquissa un sourire à la métaphore de la jeune femme. En effet, si la grange brûlait, ils cuiraient... Mais il n'était pas heure à la rigolade. Désignant les animaux, il continua:

-Si nous les défendons, il n'est pas nécessaire de les libérer. Par contre, si la grange est victime de ces éclairs qui tonnent, nous n'avons d'autre choix que de les laisser fuir. Sachez que ce serait pour leur bien.

Il resta silencieux un moment, guettant la porte de la grange, au cas où l'homme réapparaisse. Puis, il se retourna de nouveau vers la jeune femme.

-Pour l'instant, je crois que nous devrions attendre. Peut-être ce vieux fou se calmera-t-il et nous laissera tranquille.

Il espérait de tout coeur que ce soit vrai.

Valarius était non loin de là à l’orée des bois entouré de sombre énergie qui tempêtait tout autour de lui. soudain, il levas les bras tout grand vers le ciel, entonnant un chant étrange ressemblant à un chant de guerre. Ce son ce répandit rapidement dans la ferme et au alentours. S’il avait la moindre connaissance magique, ils auraient put reconnaître là un champs utiliser par les ancien enchanteur et quelque druide pour convaincre les élément d’entendre leur parole et d’exaucer leur désire. Ce chant dans un étrange dialecte glottal semblait amener la foudre et les vents à ce concentré sur un même endroit, les nuage eu même semblaient frémire de plaisir sous les effet dévastateur du chant de guerre.

Soudain, les vents ce levèrent en même temps un puissant vent de haut s’écrasa au sol, l’impacte des deux vents ascendant fit ce créer une un tornade d’une puissance…dévastatrice. Celle-si avançais lentement mais sûrement vers la grange. La seul chose qu’ils ignorait c’était qu’au moment ou elle toucherais la grange, elle disparaîtrait ayant perdu ces force.

Ereb vint près de Kahlan pour regarder ce qui se passait à l'extérieur. Il vit la tornade ravageant tout sur son passage. Avec un calme qui le surprit lui-même, il déclara:

-La malchance est clairement tombée sur votre ferme. Je ne sais pas ce que l'on devrait faire, mais il faut le faire vite!

Il ne voulait pas prendre de décision à la place de Kahlan, car après tout, c'était son domaine. Jamais Ereb n'avait vécu autant d'angoisses en si peu de temps, et la quiétude qu'il conservait était inhabituelle. Il se demanda si c'était la présence de la jeune femme qui la rassurait de cette façon. Il resta près de la porte de la grange, fixant d'un air impassible la tornade qui s'approchait de plus en plus.

Ereb observa successivement la jeune femme et la tornade qui s'approchait dangereusement de la grange. Sa solution serait-elle efficace? Le vieillard s'était-il trop éloigné, afin de s'écarter de sa propre tempête, pour ne pas entendre les excuses de Kahlan?

-Il sera difficile de fouler notre orgueil, mais si c'est l'unique façon qui s'offre à nous de sauver votre grange, il le faudra bien. Vous croyez qu'il vous entendra malgré tout ce bruit?

Le vent engendré par la tempête fouettait la grange avec fracas, paniquant les animaux davantage à chaque mètre que la tornade franchissait. Le centaure était impatient que toutes ces agitations reviennent à la normale. Mais il ne savait ce qui était normal pour lui. Jamais il ne revoyait les mêmes villages, ni les mêmes routes et encore moins les mêmes visages. Malgré tout ce qui se passait en ce moment, il se surprit à penser que la jeune femme lui manquerait probablement lorsqu'il serait reparti sur la route.

Valarius Observait le spectacle avec un tranquillité…démoniaque. S’il l’aurait vraiment voulut, il y aurais déjà longtemps que cette grande aurait été réduite en poussière par la foudre. Non, il était bien plus mauvais… il n’allait pas que réduire quelque maison en débris, il allait rendre cette terre infertile! Il allait geler le sol pour qu’il réchauffe subitement, il l’inonderais et le brûlerais! Pour l’instant la tornade était dans le champs réduisant la présente récolte de beaucoup. Il était maintenant temps d’en finire, il stoppa donc son chant net, arrêtant la tornade à quelque mètre de la grange. Ces Iris prirent la teinte de l’or et le reste de ces yeux ce couvrit d’un noir d’encre. Il allait libéré les force de la nature!

-vom Sturm! Von Element dieser Welt! Feuer, Luft, Erde und Wasser!, Sie in dieser Welt wecken! Verstorben, bringt diese Welt dazu primäre Asche! Wasser, ertränkt dieser Erde unter dein verheerender Gebirgsbach! Luft bläst ganz Hoffnung auf diese Welt! Erde nimmt dein Recht anfänglich auf diese Welt wieder! Geist des Sturmes bitte ich Sie, diese Welt zum Staub zu bringen!

(traduction : par la tempête! Par les élément de ce monde! Feu, air, terre et eau! Réveiller vous en ce monde! Feu, réduit ce monde à ça cendre primaire! Eau, noie ces terre sous tes torrent dévastateur! Air souffle toute les espoir de ce monde! Terre reprend tes droit initiaux sur ce monde! Esprit de la tempête, je vous demande de réduire ce monde en poussière!(le monde présent entendent les parole en allemand) )

soudain, du ciel ce mit à pleuvoir des dizaine et des dizaine d’éclair mettant feu au récolte de la ferme et brûlant le sol. Après quelque instant, les éclair cessèrent pour laisser place à des torrent d’eau, passant fortement proche de défoncer le toit de la grande, bien sûr, la pluie était accompagner d’énorme grêlon qui firent plusieurs trou dans le toit de la grange. Après, ce fut de terrible rafale de vent qui firent trembler les frondaison de l’édifice arrachant ici et là des planche de bois pour les projeter à une vitesse fulgurante, transperçant tout sur leur passage. Pour finir, les cieux ce calmèrent plus rien ne vint, toute les récolte de la ferme était fichue, la maison inonder et transpercer à plusieurs endroit, la grange était trouer de beaucoup d’endroit et le toit semblait presque arracher tellement les grêlons et le vent l’avait fait souffrire.

Bien content de son coups, Valarius partie. Il avait bien sûr entendu le long cris de la jeune femme. Il espérait bien sûr qu,elle est retenus la leçon. Mais plus il y pensait, plus il oubliait un petit quelque chose, n’y avait0il pas une attaque de loups? Mais bon, il s,en fichait, repartant son attaque n’avait pas durée plus d’une heure et il repartait bien heureux de ce qu’il venait de faire.