L'arrivé d'Ereb et de Kahlan

Ereb sourit à la remarque de Kahlan à propos des regards, elle avait toujours le mot pour le rassurer. Heureusement qu'elle était là, sinon il aurait eu bien du tracas à se fondre dans cette masse.

-Tout va bien.

Répondit-il à sa question, d'une voix faible, gêné par la foule. Il y avait beaucoup de villageois au marché, mais Ereb n'avait pas beaucoup de difficultés à se frayer un chemin, car les gens s'écartaient volontairement de sa route, effrayés à l'idée d'être piétinés par cette bête imposante. Soudainement, il sentit une main dans la sienne. Il se tourna et fut étonné de voir que c'était celle de Kahlan. Il n'essaya pas de la dégager, mais ce fut la jeune femme qui retira sa main la première, mal à l'aise. Il la regarda et lui dit gentiment:

-Vous n'avez pas à vous excuser, cela ne m'embête pas du tout.

Il tendit de nouveau sa main à Kahlan et fut lui-même surpris de son comportement. Peut-être avaient-ils tous deux autant besoin de soutien dans cette foule effrayante. Et puis, peu importe les commentaires que cet acte engendrerait parmi les humains qui passaient!

Kahlan fut ravie qu'il lui offre sa main. Elle la repris avec beaucoup de joie. Elle ne le laissa pas paraitre mais elle n'aimait pas vraiment être dans une foule aussi grosse. Cela ra rassurait beaucoup de ne pas être seul.

- Nous devons aller au bout de la rue. Là il y a des vendeurs d'animaux de toute sorte dont des chevaux. J'en ai déja acheter un jadis.

Ils avancèrent assez rapidement grace à la peur des gens face à Ereb. Ils se déplacaient devant eux.

* Au moins cela va nous aider!!! *

Arriver au bout, elle vu le vendeur de chevaux. Elle le connaissait un peut. C'était un ami de son défunt mari. Elle ne l'avait jamais vraiment aimer. Elle ne croyait pas qu'il la reconnaitrait. Elle n'aurait heureusement pas à parler de ces souvenirs passés. Elle ne lacha toujours pas la main d'Ereb jusqu'elle arrive devant l'homme.

- Bonjour! Je voudrais un cheval pour faire un long voyage. Donc un cheval jeune et résistant serai très bien.

L'homme les ammena vers l'endroit où il laissait les chevaux. Elle ne connaissait pas trop les chevaux car c'était plus son mari qui s'occupait de les choisirs. Mais elle fini par arrêter son choix sur un magnifique cheval noir comme la nuit. Elle demanda à Ereb

- Est-ce que tu crois que c'est un bon choix? J'ai un peut de difficulté a en choisir un bon mais je le trouve très beau.

Elle lui fit un petit sourire. Bien sur elle ne voulais pas qu'il crois qu'elle lui demandait ca parce qu'il était un centaure. Elle avait seulement besoin d'un conseil et elle ne faisait pas trop confiance au vendeur.

Ereb aurait pu croire que Kahlan lui posait la question parce qu'il était à moitié cheval, mais il connaissait un peu mieux la jeune femme à présent et il savait qu'il n'y avait pas sous-entendu dans ses paroles. Quoiqu'il était vrai qu'il pouvait facilement reconnaître un bon cheval. Il s'approcha du cheval noir, le scruta de la tête aux sabots, puis posa sa main sur le chanfrein de celui-ci. Il ne remua pas et resta la tête bien droite, observant Ereb et Kahlan de ses grands yeux bruns comme l'écorce. Le centaure fit un sourire à la bête, puis tourna la tête vers Kahlan.

-C'est un excellent choix, il semble en très bonne santé! Il ne doit pas avoir plus de 5 ans

Il s'adressa ensuite au vendeur.

-Lui avez-vous donné un nom?

Le vendeur hocha la tête en signe de dénégation, expliquant qu'il ne l'avait pas depuis bien longtemps. Ereb trouva cela dommage de laisser un cheval sans nom. Il se retourna de nouveau vers Kahlan.

-En plus, vous aurez l'honneur de le nommer.

Il sourit, puis se recula de devant l'enclos, afin de laisser la chance à la jeune femme de scruter de plus près le cheval à son tour. Après tout, c'est elle qui le monterait.

Kahlan fut très heureuse qu'Ereb approuve son choix. Elle se retourna vers le vendeur et lui donna l'argent nécessaire pour payer le cheval. Elle acheta aussi une selle et tout ce qu'il falait pour le chevaucher. Elle pris les rènes et alla plus loin. Loin de cette homme qu'elle avait toujours essayer d'éviter. Puis flatta le museau de son nouveau cheval en le regardant dans les yeux. Elle souriait.

- hum je ne sais pas trop quel nom pourrais t'aller. Que dirais-tu d'Artax? Ha oui je crois que sa serai bien!

Elle se retourna vers Ereb très heureuse.

- Tu trouve bien Artax?

Quoi qu'il en soit, son choix était fait. Elle se placa à côté de lui et lui flatta le dos. Puis placa la Selle sur son dos.

- J'ai bien hâte de voir s'il est farouche!!!

Elle regarda Ereb et dit

- Bon maintenant que j'ai un cheval, plus rien ne peut nous arrêter. Nous pouvons aller ou vous voulez m'emmener! Qu'est-ce que vous avez envis de faire?

Elle regarda autour d'elle et remarqua que les regard étaient encore sur eux. Elle ne pouvait pas croire que les gens étaient si...... que les gens jugeait beaucoup trop vite. En fait elle croyait qu'ils avaient tout simplement peur. Elle leur renvoya leurs regard. Elle avait un mauvais caractère quand elle voulait. Elle était sur qu'Ereb les voyait lui aussi et elle ne voulait pas lui infliger ce malaise encore longtemps.

Soudain après une accalmie de quelque jours, un puissant vents ce levas, plusieurs villageois quittèrent le quartier sur le champs sachant très bien qu’en faites ce vents n’avais rien de naturel. Trop subite et trop fort, il emportait bien vite les papier qui ce trouvait ici et là, faisant voler au vents les jupe et les manteau des paysan. Le ciel ce couvris peu à peu et une fine neige commença à tomber, une neige d’une beauté féerique même si en fait, c’était encore l’été, même si très bientôt l’automne. De la foule sortie un vielle homme vêtue de noir, le visage cacher par une grande capuche qui laissait sortire une longue barbe blanche. L’homme s’appuyais sur un vieux bâton ou était graver d’étrange dessein représentant différente tempête ou état climatique. Une seul lueur trahissait son identité, ces yeux d’un blanc laiteux, blanc comme la neige et gris comme le ciel présent. L’ont aurait dit les yeux d’un aveugle, mais beaucoup avait entendu la description du vielle homme et partirent donc à la hâte. Seul quelque paysan plus « brave » regardait encore la scène avec un regard de haine et de mépris. Ces homme connurent un sort des plus étrange, des cieux étendirent des colonne d’air qui les happèrent sans pitié les projetant quelque rue plus loin.

-Bonjours à vous…de nouveau!

un grand sourire ce dessina sous la capuche du vielle homme.

Kahlan tenna très fort les rènes de son cheval et se rapprocha d'Ereb. Cette voix lui donna des frissons dans le dos. Mais après ce qu'elle avait vu de lui, elle préféra ne pas trop le contrarié. Elle savait qu'il était beaucoup plus puissant qu'elle n'en était vraiment pas heureuse. Elle se résolu a lui répondre. Elle lui fit un faux sourire.

- Bonjour. Vous avez envis de me martiriser encore une fois? Je suis ici en paix. J'ai vue votre puissance et je n'ai pas envis d'en subir les conséquence encore une fois.

Elle regarda ereb en espérant qu'il comprenne qu'elle ne voulais pas le provoquer et qu'il devrais faire pareil. Même si ce conseil lui allait beaucoup plus a elle qu'a lui.

- La dernière fois nous ne nous somme même pas présenter.

Elle se rapprocha de lui a contre coeur. Elle faisait tout pour que sa ne paraisse pas trop.

- Je me nomme Kahlan et voici mon ami Ereb.

Elle se surpris a se dire que ce n'était pas si difficile de rester calme.

Le vielle homme descendit ça capuche révélant son crâne un peu dégarnis et ces cheveux blanc, il semblait bien plus vieux qu,a leur dernière rencontre. Il sourit de toute ces dents au dire de la jeune femme, la martyriser ? ça pourrais être intéressent mais non, là n’était pas son buts pour l’instant.

-Je suis Valarius Rosenrot

il écrivit une étrange rune dans la neige fraîche et la souligna voulant dire que c’était une façon d’écrire son nom.

-dans le vieux langage, cette rune veut dire, celui qui possède les cieux.

Il la regarda droit dans les yeux, des yeux blanc qui semblait aveugle avec l’habituel tinte or.

-vous semblez partire en voyage, si c’est bien le cas et je suis sûr que ça l’est, auriez vous la bonté d’âme d’accepter qu’un pauvres vieux fou vous suive? Je doit moi même entreprendre un grand et long voyage et un peu de compagnie ne me ferait pas de mal!

Puis la neige cessa de tomber tranquillement laissent place au grand soleil qui réchauffe tout le monde, les yeux de valarius était devenus gros énorme soleil dans un océan bleu ciel.

-je croit que je pourrais vous être très utile pour éviter des condition de voyage désastreuse.

Une ombre passa sur le visage du tempestaire, l’endroit ou il comptait aller était loin, loin et ancien. Il doutait de pouvoir leur dire, qui sait qu,elle secret ils pourrait y découvrire. Mais bon, pour cette fois, un voyage seul équivaudrais à une mort instantané. Les créature démoniaque de cette endroit était bien plus puissante que lui et là était le buts de son voyage. La puissance à l’état brute.

-si t’elle est votre choix, mais sache que toute chose n’est pas bonne à savoir.

Il prit une grande respiration et le climat redevint normal, un beau soleil et quelque nuage était dans le ciel, un petit frais passait ici et là, les yeux de Valarius était maintenant d’une autre couleur, un bleu très pale, enfin ces iris était d’un bleu très pâle, le reste était normal.

-je vais vers une terre ancien ou nul na mit les pied depuis le dernier conflit des dieux, la terre qui inventa le langage des rune t’elle que je vous est montré. La terre des dieux dont le nom fut oublier jadis.

Valarius garda un calme des plus étrange, comme figer dans le temps, il semblait réfléchir. Seul ce serait du suicide, la terre des dieux entant que t,elle n’était pas dangereuse, elle regorgeait de richesse et d’objets des plus puissant mais les démon ne pouvait y pénétré. Mais le chemin quand à lui était une tout autre histoire. De souvenir, plusieurs groupe de brigand et de pionnier avait voulut s’y installer sans grand succès. Les démon ayant eux même une forteresse qui ne montrait que le bouts de son nez à la surface de la terre. Les démon y était par légion!

-si t’elle est votre choix, je ne vous oblige en rien à accepter ma proposition, sachez que cette terre possède de grand trésor, mais aussi énormément de secret non découvert. Voici un petit quelque chose qui pourrais bien vous intéresser à me suivre dans ces terre.

Il sortie de ça poche une poigner de pièce d’or et de l’autre main une dague d’ivoire blanc qui semblait luire de bienveillance, il tendit la dague à la jeune femme et mit les pièce dans un petit sac de velours pour les lui donner.

Valarius fit un grand sourire à la question, enfin une question intelligente. Même si la réponse était des plus simple, un lieux depuis longtemps oublier restait bien souvent oublier sauf des profanes.

-Ça ma cher, c’est par-ce que personne n’en parle bien sûr, je ne suis pas n’importe qu,elle tempestaire de bas étage, j’ai étudier les art enchanteur au près des plus grand, s’eut qui connaissait l’existence de cette terre. Pourquoi n’y alla t’il pas? Très simple, la peur, ils ont peur des vieille légende parlant de la raison de la désertion de ces terre. Des démon mythique règne sur un endroit assez proche, mais il n’ose pas s’en approcher de peur de revoir les ancien dieux revenir et terminer leur travail.

C’était bien inexacte comme réponse car pour vrais, les légende disait que les démon avait balayer les dieux sans véritable difficulté aider par un être de nature inconnu. Cette terre était en fait protégé par de puissant champs de force divin ériger pour protégé leur royaumes à jamais du traître et de ses sbire.

Lorsque Kahlan regarda Ereb pour voir s'il était en accord avec sa réponse positive, il lui fit un demi sourire déçu mais compréhensif. Jamais il ne pourrait vraiment lui en vouloir. S'ils étaient chanceux, le vieillard leur fausserait compagnie assez tôt. Et puis, pourquoi leur avouait-il tout cela? Les trésors, les terres inconnues... Était-ce la culpabilité qui le faisait agir ainsi? Pour le centaure, le plus beau de la nature, c'étaient ses secrets restant incompris. Pourquoi voudrait-il connaître ses mystères? Et puis, rien de ce qui pourrait se trouver dans ces trésors ne pouvait pas même risquer intéresser le jeune centaure. L'argent, l'or, les objets magiques, c'étaient pour les nains et les Hommes aimant un peu trop le pouvoir.Il prit à contre-coeur la dague que la jeune femme lui tendait. Il l'observa un moment sans démontrer vraiment de curiosité. Il redonna la dague blanche à Kahlan, car c'était à elle que le magicien l'avait offerte. Ereb ne parlait toujours pas, écoutant la conversation de Kahlan et de Valarius. Il se demanda si la jeune femme s'intéressait réellement aux trésors des terres dont parlait le vieil homme, ou si elle voulait seulement prolonger le climat doux qui s'était posé sur le village depuis que le vieillard parlait fièrement de ses connaissances. Il écoutait attentivement les paroles du tempestaire. Celui-ci avait étudié la magie avec les plus grands... Et Ereb ne put s'empêcher de penser:

*C'est probablement pourquoi il est rendu fou. La nature ne dévoile pas ses mystères sans conséquence.*

Mais aucune émotion ne parut sur son visage.

Kahlan partit avec Ereb plus loin, toujours en tenant Artax solidement, parce qu'elle voulait en parler avec lui. Elle n'était pas enchanté de parir avec cette homme très imprévisible. Elle avait un visage dur, sans joie. Elle était en colère.

- Qu'est-ce que tu en pense. Je n'ai pas eu le choix d'accepter. j'ai penser aux innocent qui pourrait périr si nous refusions..... Je ne suis pas heureuse de voyager avec lui mais je vois dans ton visage que tu est en colère.

Elle lui mis une main sur la joue pour le rassurer un peu et le calmer. Ce n'était pas sa guerre. Elle ne voulait pas le voir ainsi. Il avait toujours été gentil avec elle depuis leurs rencontre et elle ne voulait pas lui causer du malheur.

- J'ai peur de cette homme mais et même temps, s'il nous a demander de l'accompagner, il doit avoir une raison. Je suis curieuse j'avoue. Mais si vous voulez partir, vous pouvez le faire.

Elle regarda ces pieds. Tout allait si bien, les choses semblait tourner pour elle. Mais non, encore une épreuve de plus pour l'endurcir encore. Mais elle ne voulait pas céder au désespoir. C'était peut-être son destin!

Ereb écoutait la jeune femme parler, prenant soin de surveiller le vieillard du coin de l'oeil. Il réfléchit à ce qu'il pouvait bien lui répondre, sachant très bien qu'il était plus honorable de sauver la vie des villageois que de les sauver seulement tous les deux. Toutefois, la seule chose dont il était certain, c'est qu'il ne voulait pas quitter Kahlan. Et encore moins la laisser seule avec un homme aussi dangereux que Valarius. Elle était, à elle seule, la famille dont il n'avait jamais osé rêver après avoir perdu la sienne. Une pensée noire traversa son esprit. Et si c'était lui que le vieil homme voulait tuer? Et si c'était à cause de sa présence que celui-ci avait tout saccagé la demeure de la jeune femme? Peut-être que le fait que les centaures appréciaient tant la nature mettait l'idée en tête du tempestaire qu'il était leur maître, car celui-ci contrôle la nature comme il le veut. Cette hypothèse expliquerait le regard écoeuré qu'avait pris le magicien la veille en regardant Ereb. Si c'était le cas, il mettait la vie de la jeune femme en danger par sa seule présence. Sinon, quel autre motif pouvait amené un homme aussi puissant à demander un accompagnement pour son voyage? Après sa crise de paranoïa silencieuse, il dit ses premiers mots depuis un bon moment:

-Non. Je ne vous laisserai pas seule avec ce dingue. Et puis, je vous ai invité à faire ce voyage avec moi et j'y tiens. Je comprends le conflit que vous subissez, et votre choix est tout à fait convenable. Quel que soit le motif qui pousse ce vieil homme à vouloir nous accompagner, que ce soit la culpabilité, la haine ou l'emprise, je serai à vos côtés.

Malgré la franchise qu'il venait de témoigner, il ne souriait plus comme auparavant. Il jeta un nouveau regard vers le vieillard, puis ajouta:

-Et puis, sauf s'il sait voler, il lui faudra un cheval aussi.

Elle osa un regard au vieille homme.

- C'est vrai qu'il lui faudra un cheval. De toute façon, avec la bourse d'or de tout a l'heure, il sera capable de s'en acheter un s'il en a pas.

Elle regarda Ereb avec un regard triste.

- Je suis sur que sa ira. J'ai confiance en nous. Peut-être que ce voyage sera agréable quand même. Je le souhaite de tout mon coeur. Mais je ne lui ferai jamais confiance.

Elle pris une grande respiration.

- Je suis très heureuse que tu accepte de venir quand même. Ta présence est si réconfortante.

Elle revint finalement vers Valarius.

- Bon nous sommes d'accord. Seulement il vous faudra un cheval. En avez-vous un?

-baaaaaaaah un cheval, pourquoi faire?

Il levas les bras et une colonne d’air descendit du ciel pour le frapper de plein fouet, le soulevant du sol avec aisance, voler? Ce n’était pas le mots juste mais bon. Malheureusement pour lui, il ne pourrais pas faire le voyage comme ça, il serait bien trop épuiser rendus au confrontation alors il redescendit au sol et donna une bourse pleine d’or au marchand de cheval tout proche. Il prit ensuite les rêne de son nouveau cheval, noir comme la nuit avec une lueur féroce dans les yeux.

-hummm, tien je vais t’appeler Sterm! Dans la vieille langue ça veut dire tempête.

Il eu un étrange sourire, l’animal semblait calme comparés à ce que le vendeur avait dit quand Valarius avait choisi le cheval noir.

Kahlan ne fut pas très surprise de voir le vieille homme faire un de ces tour. Elle se doutait bien qu'il en était capable. Mais quand il partit pour aller chercher un cheval elle était soulager.

* Au moins nous voyagerons tous d'une facon plus traditionnel *

Kahlan arqua un sourcil en le voyant revenir aussi vite avec un cheval noir. Elle jetta un regard au vieille homme.

- Vous êtes prêt a partir tout de suite? car nous nous le sommes.

Elle attacha son sac sur le dos de son cheval et se dirigea vers les portes de la ville. Elle se dit que c'était un bien étrange groupe, une humaine, un centaure et un tempestaire qui partait pour un long voyage... Arrivé aux portes elle chevaucha Artax et commenca à galopper tranquillement.